Première femme à la tête du ministère des Sports, Mme Khady Diène Gaye a pris fonction cette semaine et étale son programme sur 17 points essentiels. Un programme qui nourrit beaucoup d’espoirs chez Bira Sène le président du CNG qui reconnait la compétence de la dame.

Mme Khady Diène Gaye a été nommée ministre des Sports. Elle occupe le département du Sport, de la culture et de la jeunesse. Comment accueillez-vous cette nomination ?

Nous sommes très ravis de voir que ces trois ministères ont été réunis et dirigés par une seule ministre. Une nomination qui, certainement sera plus bénéfique pour la lutte qui regroupe énormément de jeunes et qui englobe également la culture. D’ailleurs d’aucuns disent qu’il y a plus de culture dans la lutte que de sport. Le ministère est maintenant complet en réunissant la jeunesse, la culture et le sport. Avec cette nomination, je suis convaincu que c’est plus la lutte qui y gagne. Surtout que la ministre maîtrise son domaine, puisqu’on a eu à la pratiquer par le passé. Elle est stricte avec une compétence avérée. Elle va amener très loin le sport sénégalais.

Pensez-vous qu’elle pourra faire mieux que ses prédécesseurs ?

Bien sûr ! Dans le monde de la lutte, on n’a jamais eu un ministre qui maîtrise aussi bien qu’elle le secteur puisque nous avons eu à travailler avec elle dans le cadre du Drapeau du Chef de l’Etat, alors qu’elle était inspectrice régionale du sport. Elle était présente à Kaolack, à l’occasion du drapeau du chef de l’Etat. Elle s’était fortement impliquée pour trouver des moyens à l’équipe de Dakar pour une bonne réussite de son tournoi. Et au finish, Dakar avait remporté le trophée. Elle allait sur le terrain pour chercher des moyens pour la réussite de l’organisation du Drapeau du Chef. Si aujourd’hui, elle est à la tête du ministère, cela ne peut être que bénéfique pour la lutte. Puisqu’elle connaît les réalités du terrain. C’est une personne très expérimentée, très technique et qui maîtrise parfaitement la lutte sénégalaise. Donc c’est la personne qu’il faut à la place qu’il faut.

Source : RECORD

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